le bout de la route
Parfois, le long de la grève d’une mer décidément bien trop calme…
P: Mais qu’est-ce que tu veux que je te dise ?
G: Je ne sais pas, quelquechose… Un petit peu d’espoir…
P: C’est trop tard, bien trop tard, même pour l’espoir.
G: Pourtant j’ai fait tout ce que tu m’as demandé !
P: Je sais, et dieu sait que je m’en veux d’avoir pu te demander quoi que ce soit.
G: Alors c’est tout ? C’est comme ça que tout fini ?
P: Pas tout, on est encore debout, cela suffira pour le moment non ?
G: Oui mais nous ?
P: Nous n’existe plus, pense à toi, comme moi je pense à moi.
G: C’est tout ?
P: Parce qu’il t’en faut plus ?
G: …