Du côté de Palombaggia

L’an dernier, à peu près à la même époque je préparais mon séjour en Corse… Du coup, ce n’est que justice que je finisse de traiter mes photos de ce séjour. Bon en vérité, je n’ai pas tout a fait fini de faire le tri dans ces photos la !

M’enfin, ça avance doucement !

Palombaggia-4

Exif :
Camera : Canon EOS 7D
Exposure : 1/100 sec
Aperture : f/11.0
Focal Length : 42 mm
ISO Speed : 100

Critique Ciné – Green Lantern, In brightest day, in blackest night… No evil shall escape my sight !

Un homme en costume vert, qui tire sa puissance d’une lanterne… Verte… C’est sûr que vu comme cela, le potentiel casse gueule de cette histoire est plutôt visible. C’est vrai que ce Green Lantern n’est certes pas le héros DC Comics le plus connu chez nous. Mais l’éditeur US n’allait pas non plus laisser entièrement le champ libre à son collègue de chez Marvel, qui avait bétonné son été avec pas moins de trois films… Bref… DC ne pouvait pas se permettre d’attendre la sortie du troisième opus de Batman. Voici le pitch de ce Green Lantern :

Dans un univers aussi vaste que mystérieux, une force aussi petite que puissante est en place depuis des siècles : des protecteurs de la paix et de la justice appelés Green Lantern Corps, une confrérie de guerriers qui a juré de maintenir l’ordre intergalactique, et dont chaque membre porte un anneau lui conférant des super-pouvoirs. Mais quand un ennemi du nom de Parallax menace de rompre l’équilibre entre les forces de l’univers, leur destin et celui de la Terre repose sur leur dernière recrue, le premier humain jamais choisi : Hal Jordan. Hal est un pilote d’essai talentueux et imprudent, mais les Green Lanterns ont un peu de respect pour les humains, qui n’ont jamais exploité les pouvoirs infinis de l’anneau auparavant. Hal est clairement la pièce manquante du puzzle et il possède, en plus de sa détermination et de sa volonté, une chose qu’aucun des autres membres n’a jamais eu : son humanité. Soutenu par son amour d’enfance, le pilote Carol Ferris, Hal doit rapidement maîtriser ses nouveaux pouvoirs et vaincre ses peurs, pour prouver qu’il n’est pas que la clé pour vaincre Parallax… mais peut-être le plus grand Green Lantern de tous les temps.

C’est Martin Campbell, à qui l’on doit les deux derniers Bond qui s’est collé à la réalisation, si le résultat est moins inspiré, c’est solide, et le film ne souffre pas de temps mort. Dommage par contre que le concept même du héros (construire des objets avec sa seule volonté) soit sous exploitée. La montée en puissance de ce nouveau héros est ponctuée de passage plus ou moins comique, comme par exemple celui qui essaye de désamorcer le côté casse gueule d’un super héros juste caché derrière un loup… Ryan Reynolds est fidèle à lui-même, et est peut-être un peu trop minet pour être crédible tout à fait. Blake Lively est toujours aussi jolie, même si son personnage est quelque peu laissée pour compte, et enfin Mark Strong est juste parfait en Sinestro (Vivement le deux du coup).Mais on rentre malgré tout assez bien dans cette histoire, véritable introduction à un univers bien plus vaste. Mais la suite est déjà programmée… Ce n’est pas réellement une surprise !
Ce que j’ai aimé :
+ Le costume version 2011 (et oui, même le loup !).
+ L’humour et la désinvolture du héros
+ L’acteur choisi pour Sinestro !

Ce que je n’ai pas aimé :
– Le méchant humain un peu limite…

Critique Ciné – The Smurfs (Les Schtroumpfs), La Schtroumpfette fait les soldes à New York

Si la perspective de voir les Schtroumpfs se balader au milieu de New York peut sembler risible du premier abord, il faut tout de même avouer qu’une adaptation en film Live d’une des aventures originelles des petits héros bleus aurait flirté avec le ridicule…

Je vous laisse découvrir le synopsis, qui n’a rien de très surprenant, mais bon, cela plante le décor :

Chassés de leur village par Gargamel, le méchant sorcier, les Schtroumpfs se retrouvent au beau milieu de Central Park à travers un portail magique.

Bon, c’est effectivement un peu court. M’enfin, les Schtroumpfs c’est pas non plus des scénarios très compliqués, donc cela suffit bien. Je donne une bonne note à l’acteur qui joue Gargamel, car on sent qu’il prend son pied à être aussi stupide et vil que son alter-ego de la bande dessiné. L’univers est certes transposé à New York, mais tout ceci reste cohérent avec celui créé par Peyo. On n’a évidemment pas droit à la totalité du village pendant tout le film hein. On a une fine équipe composée des Schtroumpfs les plus porteurs, à savoir le grand Schtroumpf, la Schtroumpfette, le Sctroumpf à lunette, le Schtroumpf Grognon le Schtroumpf Maladroit et le Schtroumpf courageux (ou Schtroumpf Ecossais). J’ai trouvé d’ailleurs le rendu des Schtroumpfs vraiment bien travaillé, avec ce qu’il faut de détail pour les rendres crédibles dans notre monde. Sympa également qu’à chaque fois que nos héros squattent un taxi, il y ait une pub pour quelque chose de bleu ! (Le Blue Man Group d’abord, le Blu-ray ensuite…) La conversion 3D n’est ici pas d’une grande utilité, mais bon, ce n’est pas non plus un handicap, à part pour ceux qui sont profondément réfractaire à la chose.

Beaucoup de clins d’œil, un peu de cabotinage de la part des acteurs, et une histoire gentille et toute simple, qui ravira les petits, comme les grands. Je suis ressorti de ce film avec le sourire, et c’est déjà çà ! Si vous avez des enfants, je ne saurais que trop vous le conseiller. Si vous n’avez pas d’enfant, mais que comme moi, vous avez gardé une âme de gosse et une pensée plus qu’émue pour votre collection de petits personnages bleus, cela devrait également vous plaire. Vous n’aurez qu’une envie ensuite, que votre vie soit Schtroumpfée aussi !

Ce que j’ai aimé :
+ C’est les Schtroumpfs !!!
+ Le rendu des Schtroumpfs… “Réaliste”

Ce que je n’ai pas aimé :
– Le chat, Azräel, plus que moyennement animé…

Critique Ciné – Rise of The Planet of The Apes, Qui a peur du grand méchant Andy Sirkis ?

Une histoire de Singe qui en Singe une autre… Cela a de quoi laisser rèveur… Durant mon après midi ciné marathon de ce dimanche de mi août, j’ai vu ce qui ce veut être le prequel d’un éventuel re-reboot de “La planète des singes”. Il a le mérite de lever le voile sur une partie non expliquée dans les romans d’origine… Je ne dévoilerais rien de plus que ce que vous pouvez déjà lire du synopsis sur le site d’Allociné :

Dans un laboratoire, des scientifiques expérimentent un traitement sur des singes pour vaincre la maladie d’Alzheimer. Mais leurs essais ont des effets secondaires inattendus : ils découvrent que la substance utilisée permet d’augmenter radicalement l’activité cérébrale de leurs sujets. César, est alors le premier jeune chimpanzé faisant preuve d’une intelligence remarquable. Mais trahi par les humains qui l’entourent et en qui il avait confiance, il va mener le soulèvement de toute son espèce contre l’homme dans un combat spectaculaire.

Ne vous attendez toutefois pas à une guerre ouverte entre des singes intelligents et une race humaine aux abois… J’imagine que nous ne verrons cela que dans la suite !

Côté performance d’acteur, James Franco est assez bon, les autres acteurs sont plutôt effacés. Après avoir été un être malmené par un anneau bien trop puissant, et avoir titillé du très grand singe, Andy Sirkis a repris ici le chemin de la salle de Motion Capture pour s’insérer dans la peau du singe Caesar. Si la performance est louable, elle ne sauve pas de l’incohérence une histoire un peu trop calibrée pour son temps d’apparition à l’écran.

Bref, le film n’est pas mauvais, et restera un bon divertissement de fin d’été, ce qu’il était de toute façon fait pour être !

Ce que j’ai aimé :
+ La progression du personnage de César, très bien rendue.
+ Les clins d’oeils aux autres films…

Ce que je n’ai pas aimé :
– Une histoire qui manque un peu de cohérence

Un peu d’architecture…

J’avais un rendez-vous il y a peu dans les locaux de Microsoft… Comme j’étais un petit peu en avance, je me suis un peu promené dans le coin, et j’ai croisé le bâtiment de chez Bouygues Immobilier.

J’ai retenu cette photo pour le coup…

Archi - Issy (1 sur 1)

Exif :
Camera : Canon EOS 7D
Exposure : 1/100 sec
Aperture : f/8.0
Focal Length : 38 mm
ISO Speed : 100

Une grande dame de la route, la Citroën 15

J’ai croisé, lors d’un mariage fastueux, une grande dame de la route, et de l’histoire de France… La très connue Citroën 15. Parfois nommée la Traction Avant, ou la Citroën 15/six (à cause de ses 6 cylindres). Elle a été mise en circulation en 1934.

Non seulement celle-ci est bichonnée, et est donc en parfait état, mais elle ronronne de plaisir dés que l’on allume. J’ai toujours eu un faible pour les courbes si particulières des voitures de cette époque. Mais celle-ci reste ma préférée !

Citroën 15 (3 sur 6)

Exif :
Camera : Canon EOS 7D
Exposure : 1/25 sec
Aperture : f/7.1
Focal Length : 18 mm
ISO Speed : 640

Critique Ciné – Super 8 : Quand les Goonies font une rencontre du troisième type

Introduction :
J’ai eu l’immense plaisir de découvrir, très en amont de sa sortie en salle prévue chez nous pour le début du moi d’août, le très attendu Super 8 réalisée et produit par non pas un, mais deux des moguls d’Hollywood les plus influents. A savoir Steven Spielberg et J. J. Abrams. Et le résultat est clairement à la hauteur… Mais de quoi ?

Synopsis :

Mon avis passablement éclairé :

Dans le but d’éviter de vous spoiler, j’ai décidé de faire court… J’ai voté (Bien) à la sortie de la projection Allociné… Pourquoi ? Parce que ce film me fait replonger dans l’ambiance si particulière des films des années 80, ou le but n’était pas (encore) de vous en mettre plein la vue avec des effets spéciaux. Mais plutôt de vous faire ressentir quelque chose pour des personnages pris dans la tourmente d’un quotidien devenu trop lourd, se retrouvant face au fantastique et à l’étrange.

Ce film est clairement une suite spirituelle des Goonies (déjà en parti écrit par Spielberg d’ailleurs). On retrouve dans cette bande de gamins celle du film de Richard Donner. Pour autant, Les Goonies était un film pour adolescents. Super 8 peut être apprécié par un public plus large. En sortant du film, j’ai entendu beaucoup de mes collègues disserter sur la part de Spielberg, et la part de Abrams dans le scénario. Je ne pense pas que ce soit si simple. Même si certains passages sont vraiment reconnaissables. On a affaire ici à un vrai mix de cinéma. On retrouve la mise en scène dynamique (d’aucun diront chaotique) d’Abrams) et les plans plus béats et naïf de Spielberg.

Évidemment, je vous le conseille… Vous en sortirez soit en ayant retrouvé une âme d’ados des années 80, soit en me maudissant… A vous de voir !

Ce que j’ai aimé :
+ L’ambiance très Goonies
+ Le film Super 8 des gamins

Ce que je n’ai pas aimé :
– Une scène urbaine bien trop longue


Pourquoi j’aime Ratatat

Ils sont deux… Ils sont New-Yorkais… Ils font de la musique électronique. Leurs noms ? Mike Stroud (le guitariste) et Evan Mast (Mixeur et producteur). Le nom de leur groupe ? Ratatat. Je les ai découvert lors de la sortie de leur premier album. A l’époque je faisais pas mal de veille autour de la musique électronique, du leur mix guitares/samples ne pouvait que me plaire. Le morceau que vous trouverez en vidéo dans la suite est intéressant par son approche très vocale.

Pourquoi j’aime ? J’aime le côté purement instrumental, mais ce n’est pas l’apanage de ce groupe seulement de toute façon… Bref j’aime le rythme, les sons peu communs utilisés dans les morceaux, et les clips bizarres qui en résultent. Le morceau qui suit se nomme Neckbrace… Enjoy !


Continue…

Reflexions sur la hi-fi nomade…

Parmi mon histoire in da web récente, il y a un passage sur un site qui fut longtemps une référence dans l’univers du son numérique en balade. J’y ai officié en tant que membre, animateur, modérateur, rédacteur, testeur, et enfin rédac chef pour un moment…

Je ne garde évidemment pas que des bons souvenirs de ce petit tour. M’enfin, tout expérience est bonne à prendre (ou à apprendre), du coup, je ne vais pas non plus m’apitoyer sur mon sort hein !

Je garde de tout cela une sensibilité toute particulière pour le matos musical de tout bon geek qui se respecte. Du coup je trouve navrant de me retrouver face à un gars écoutant de la musique sur son iPhone avec des Beats sur les oreilles. Ce qui fait le plus mal, c’est que cet individu non seulement écoute sûrement une musique mal encodée, avec une amplification d’iPhone digne d’un ampli russe et avec sur les oreilles un casque pas foncièrement mauvais mais sciemment déséquilibré pour plaire à la plèbe, mais qu’il se paye le luxe de regarder avec un regard méprisant mon HD25 (celui de la photo) parce que le look ne lui convient pas…

De ce constat simple, je persiste à dire que nous vivons dans un monde mal informé… Les 300€ que ce sombre individu à jeté dans ce casque aurait largement pu être mieux employés. Il existe une bonne masse de site (généralement US ou UK) plutôt élitiste qui parle d’audio. Je ne ferais donc pas l’apologie de ce genre de site… Je dirais juste que tout vient à point… A qui sait attendre…

 

Puma et Usain Bolt vont enflammer Paris !

Le 6 juillet prochain, je serais au Bus palladium pour une soirée riche en couleur pour célébrer l’ouverture de la boutique éphémère Puma Usain Bolt “Puma Faas Lab” à l’Imprimerie à Paris.

PUMA et Usain BOLT mettront en place un grand jeu concours sur FACEBOOK et TWITTER permettant à 8 heureux gagnants de venir s’affronter sur la fameuse piste du Stade de France à l’occasion d’un 100 mètres de folie, arbitré par Usain BOLT, le vendredi 8 juillet dès 19h. Un 100 mètres exceptionnel dont les règles seront bientôt dévoilées sur le facebook de PUMA.

En attendant de savoir si je pourrais faire venir l’un ou l’une d’entre vous, je vous remets les informations importante de ce début du mois de juillet pour Puma et Usain Bolt :

POP Up Store Usain BOLT “PUMA Faas Lab”
du 1er au 23 juillet à L’Imprimerie avec une inauguration le 6 juillet
Paris le Marais – 16, rue St-Merri Paris 4ème
Tel : +33 (0)1 42 72 53 24
www.galleryimprimerie.com

Mercredi 6 juillet au Bus Palladium
6, rue Fontaine Paris 9ème
Conférence de presse
DJ set usain Bolt & Guest + Live concert “NOMADS”
Soirée privée + invitations en nombre limité
sur le de PUMA et sur Facebook

Vendredi 8 Juillet au Stade de France
Jeux concours Facebook : cours le 100 metres sur la piste du Stade de France et retrouve Usain BOLT !