Macro Trooper

[dropcap]L[/dropcap]e retour du Stormtrooper… Enfin, c’était surtout une excuse pour essayer le mode “Super Macro” du Fujifilm X10 hein !

ST007 - Macro Trooper

Exif :
Camera : Fujifilm X10
Exposure : 1/20 sec
Aperture : f/4.5
Focal Length : 7.1 mm
ISO Speed : 1600

Danger !

[dropcap]C[/dropcap]ette image vient du bout du quai de la gare de “Bibliothèque François Mitterand” du RER C (à Paris). Pas grand chose à dire de plus non ?

Danger

Exif :
Camera : Fujifilm X10
Exposure : 1/25 sec
Aperture : f/2.5
Focal Length : 14.8 mm
ISO Speed : 800

Absinthe Minded ?

« L’absinthe apporte l’oubli, mais se fait payer en migraines. Le premier verre vous montre les choses comme vous voulez les voir, le second vous les montre comme elles ne sont pas ; après le troisième, vous les voyez comme elles sont vraiment. »

Oscar Wilde

Absinthe

Exif :
Camera : Fujifilm X10
Exposure : 1/20 sec
Aperture : f/2.0
Focal Length : 7.1 mm
ISO Speed : 1600

What are you staring at ?

[dropcap]J[/dropcap]e sais bien qu’une photo de chat, c’est un peu facile… M’enfin, vu qu’il ne fait pas super beau, je n’avais pas grand chose d’autre à prendre en photo. Mais bon, le sujet n’est pas si mal hein !
What are you staring at ?

Exif :
Camera : Fujifilm X10
Exposure : 1/55 sec
Aperture : f/2.8
Focal Length : 28.4 mm
ISO Speed : 500

Critique Ciné – Detachment, L’esprit rebelle des poètes disparus

Contrairement à ce que l’on peut penser, on ne vois pas que des films léger dans le cadre du Club 300. Prenez par exemple Detachment, que j’ai eu l’occasion de voir il y a quelques temps déjà. Ce n’est clairement pas un film léger ! Bon, sans plus attendre, on attaque, avec, comme d’habitude ici, le synopsis :

Henry Barthes est un professeur remplaçant. Il est assigné pendant trois semaines dans un lycée difficile de la banlieue new-yorkaise. Lui qui s’efforce de toujours prendre ses distances va voir sa vie bouleversée par son passage dans cet établissement…

L’enseignement a toujours été un sujet de cœur pour le cinéma, et ce film si s’intercale (à sa manière bien entendu) relativement bien entre Esprits Rebelles et Entre les murs. Le propos est différent, et raconte le travail sur soi que le personnage d’Adrian Brody doit accomplir pour réussir à ce « détacher » de la rage qui est autour de lui (dans le monde et dans sa classe) pour y survivre, et surtout réussir à véhiculer un semblant de cours à sa classe. Le tout est servi par un traitement parfois ultra réaliste qui évite au réalisateur de tomber dans le documentaire pur et simple.

Tony Kaye (le réalisateur) non seulement analyse d’une manière critique la société américaine (déjà écorchée dans American History X et Lake of Fire) mais souligne également l’importance de la famille à ses yeux. Véritable brulot contre une certaine Amérique, le film reste assez dur et est même parfois assez gênant. Pour autant la palette d’émotion est très large et on se prend à rire parfois et à sourire souvent.

Je recommande évidemment ce film, même si je doute qu’il rencontrera le succès qu’il mérite dans nos salles. Ce petit bijou est un pur moment de poésie et est un film de cinéma comme on en voit que très peu de nos jours. Et il se paye en plus le luxe d’être une véritable réflexion sur le beau métier (bien que très complexe) de professeurs.

Ce que j’ai aimé :
+ Adrian Brody, toujours aussi juste
+ Le regard sans concession sur une Amérique à la dérive

Ce que je n’ai pas aimé :
– Quelques longueurs

Critique Ciné – Tucker & Dale Fightent le mal, Et ils le font bien !

La semaine dernière (jeudi pour être précis), le Club 300 m’a convié a découvrir, un peu avant le reste de la France (le film sort le 1er février 2012), le film Tucker & Dale fightent le mal. Bon, sans plus attendre, on attaque, avec, comme d’habitude ici, le synopsis :

Tucker et Dale sont deux gentils péquenauds venus se ressourcer en forêt. Ils y rencontrent des étudiants venus faire la fête. Suite à un quiproquo entraînant la mort d’un des jeunes, ces derniers pensent que Tucker et Dale sont des serial killers qui veulent leur peau, alors que nos héros pensent que les jeunes font partie d’une secte et qu’ils sont là pour un suicide collectif ! C’est le début d’un gigantesque malentendu dans lequel horreur et hilarité vont se mélanger.

Autant vous le dire de suite, ce film n’est pas sérieux… Et c’est certainement ça plus grande force ! C’est du n’importe quoi pur et dur, basé sur une multitude de malentendus plus ou moins grotesques et absurdes qui finissent tous de la même manière… Dans le sang ! Alors oui, c’est très largement décérébré, et vous n’aurez clairement pas besoin de votre cerveau pour comprendre l’histoire. Malgré tout, cela se tient (si on oublie le côté absurde) et on passe un moment très agréable à voir les deux balourds essayer tant bien que mal de sortir de la galère dans laquelle ils tombent.

Evidemment, c’est un petit film sans pretention, du coup, ne cherchez pas de morale particulière, si ce n’est, si on cherche tout au fond de la vase sanguinolente qui sert de socle au film, on peut trouver une petite critique sur le délit de sale gueule que l’on peut trouver aux US envers les « Redneck ». C’est vrai qu’ils sont souvent dépeints en serial killer dans les vrais films d’horreur. En fait, la seule véritable question, c’est sur la date de sortie d’un tel film, qui aurait largement pu être placé pendant l’été, avec le reste des films « popcorns » de la saison estivale.

Je recommande donc ce film, j’ai d’ailleurs voté « Bien » pour le Club 300. Mon petit doigt me dit d’ailleurs que le film n’était pas très loin de récolter le fameux « Club 300 Approved », mais bon, ce n’est pas si grave !

Ce que j’ai aimé :
+ Les deux “héros”, qui sont attachants
+ Katrina Bowden est très mignonne ! (Mais bon, c’est inutile comme point positif !)

Ce que je n’ai pas aimé :
– Quelques longueurs sur la fin
– La fin hollywoodienne

La bande annonce de “The Dictator” avec Sacha Baron Cohen

Si vous êtes un fan de Sacha Baron Cohen, vous serez ravi de découvrir un peu plus bas la première bande annonce de The Dictator. Le film raconte l’histoire héroïque d’un dictateur qui va jusqu’à risquer sa vie pour s’assurer que son cher pays oppressé ne deviendra jamais une démocratie. Ce film est tiré du roman “Zabibah et le Roi” de Saddam Hussein.

 

Carrières de Saint Leu d’Esserent

Je ne suis clairement pas satisfait des photos que j’ai prise dans les très grandes carrières de Saint Leu d’Esserent. Pour le coup, je me rend compte du chemin qu’il me reste à parcourir pour maîtriser un peu mieux mon flash.

Bref, c’était malgré tout une bonne balade, bien sympa !

Carrières de St Leu d'Esserent (8 sur 18)

Exif :
Camera : Canon EOS 7D
Exposure : 1/60 sec (Flash powered)
Aperture : f/4
Focal Length : 24 mm
ISO Speed : 1600