Lussi In The Sky @La Boule Noire

Cela fait un moment que je voulais m’essayer à la photo de concert… Je ne sais pas si le résultat est à la hauteur. Personnellement, je suis relativement content des clichés qui suivent. Bien entendu, il y a eu un “très” gros tri. Je suis parti de près de 700 photos pour obtenir les 18 clichés qui ont atterri sur mon flickr.

Le concert en question était celui d’une demoiselle qui a terminé en quart de finale à la Nouvelle Star 2010. Le groupe se nomme donc “Lussi In The Sky” et propose un rock acidulé plutôt agréable. Le concert avait lieu à La Boule Noire, à Paris.

Je remercie Mr Max Besnard (de chez GameOne) de m’avoir permis d’obtenir un pass photo pour le concert.

Lussi-In-The-Sky-12

Exif :
Camera : Canon EOS 7D
Exposure : 1/100 sec
Aperture : f/2.5
Focal Length : 85 mm
ISO Speed : 2500

Critique Ciné – Intouchables, Un fauteuil (roulant) pour deux

Je suis un peu comme le lapin blanc d’Alice… Je suis en retard. J’avoue que j’ai vu ce film il y a déjà un bon moment. J’avais pensé sur l’instant que ma critique devait mûrir un peu plus, et que je ne devais pas l’écrire directement en sortant de la séance. Du coup j’ai laissé passer trop de temps. Alors me voilà, deux jours avant la sortie en salle, et je viens vous parler d’Intouchables. On va commencer par (comme d’habitude ici) le synopsis :

A la suite d’un accident de parapente, Philippe, riche aristocrate, engage comme aide à domicile Driss, un jeune de banlieue tout juste sorti de prison. Bref la personne la moins adaptée pour le job. Ensemble ils vont faire cohabiter Vivaldi et Earth Wind and Fire, le verbe et la vanne, les costumes et les bas de survêtement… Deux univers vont se télescoper, s’apprivoiser, pour donner naissance à une amitié aussi dingue, drôle et forte qu’inattendue, une relation unique qui fera des étincelles et qui les rendra… Intouchables.

Je me souviens maintenant pourquoi je n’ai pas écrit ma critique plus tôt… Je pense que j’aurais été bien trop gentil, j’aurais certainement écrit que ce film était un objet particulièrement bien conçu. Qu’il était porté par deux acteurs (Omar Sy et François Cluzet) quasi parfait dans ces rôles. Que le premier (Omar) y gagne certainement ses galons d’acteur à part entière, et n’est plus seulement le comique de service. Et aussi, que cette histoire, basée en grande partie sur une histoire vraie, est une grande leçon de vie.

Voilà, j’aurais pu dire tout cela… Mais en définitive, je vous dirais que j’ai voté “Bien” au vote Allociné. Pourquoi pas plus ? Parce que malgré la justesse de tout ce film, il déborde tout de même un peu trop de bons sentiments. Même si Omar lors de la séance de questions-réponses a bien appuyé sur le fait que ce que vit son personnage dans sa banlieue est très proche de ce qu’il avait vécu lui même dans sa jeunesse… Eh bien, cela fait tout de même cliché. Du coup, j’en arrive à me demander si j’ai réellement passé un si bon moment que cela. N’étais-je pas en fait un peu gêné aux entournures ? Voir cet handicapé riche se permettre de suivre les excès d’un jeune de banlieue dans le simple but de vivre à travers lui ? Bref. C’est un bon film français, qui ne doit pas être pris pour ce qu’il n’est pas. Ceux qui y verront une leçon devrait regarder un peu plus les détails !

Ce que j’ai aimé :
+ Omar Sy, très drôle mais aussi parfois grave
+ une belle histoire

Ce que je n’ai pas aimé :
– Trop de leçon tue la leçon

Critique Ciné – The Artist, Un film muet, mais qui sait se faire entendre

Qu’est-ce qui a bien pu passer dans la tête de Michel Hazanavicius… Qu’est-ce qui a pu déclencher chez lui cette idée de réaliser en 2011, où le cinéma s’embourbe de plus en plus dans la 3D, un film non seulement en noir et blanc, mais en plus muet ? C’est en substance la question que je me suis posé quand j’ai appris la chose… Et puis, est venu l’invitation du Club 300 Allociné… Et là, j’ai pris une bonne claque ! Voici le synopsis de The Artist :

Hollywood 1927. George Valentin est une vedette du cinéma muet à qui tout sourit. L’arrivée des films parlants va le faire sombrer dans l’oubli. Peppy Miller, jeune figurante, va elle, être propulsée au firmament des stars. Ce film raconte l’histoire de leurs destins croisés, ou comment la célébrité, l’orgueil et l’argent peuvent être autant d’obstacles à leur histoire d’amour.

L’objet de cinéma dans lequel nous avons été invité a pénétré permet de se rendre compte de la valeur d’une idée… L’idée simple qu’un acteur n’a pas besoin de la parole pour se faire comprendre. Bien sur le scénario n’est pas aussi complexe que lorsque l’on a la possibilité de faire dire des choses à ses acteurs. Jean Dujardin excelle en acteur muet chassé du devant de la scène par les films parlants. Ses mimiques, si exagérées dans les OSS, sont ici bien tenu en laisse par Michel Hazanavicius. Le scénario est crédible, c’est parfois triste, souvent drôle et tout le temps juste. S’il faut un petit temps d’adaptation, on oublie vite la technique utilisée, pour se concentrer sur l’histoire qui est racontée. Bérénice Bejo est quant à elle juste magnifique, et à un Peps incroyable. Et si les deux rôles principaux sont si bons, il ne faut bien sûr pas oublier les deux seconds rôles de luxe que sont John Goodman et James Cromwell ! Sans oublier le toutou, véritable personnage à part entière… Bref, ce film est une grande réussite, et je vous encourage vivement à vous ruer dans les salles lors de sa sortie, le 12 octobre 2011.

Ce que j’ai aimé :
+ Bérénice Bejo, qui émet une joie de vivre communicative
+ Jean Dujardin, qui maîtrise son jeu
+ Les seconds rôles américains très classes

Ce que je n’ai pas aimé :
– C’est trop court ! Encore ! Encore !

Sur la route de Blaye

Le long de l’estuaire de la gironde se trouve la petite ville de Blaye, connue par la plupart d’entre nous pour le vin que ses coteaux inondés de soleil produisent. Malgré tout, c’est une ville qui mérite le détour, ne serait ce que pour sa citadelle Vauban.

Bref voici quelques photos de ce coin, j’espère que cela vous donnera envie d’aller y faire un tour…

Blaye (5 sur 5)

Exif :
Camera : Canon EOS 7D
Exposure : 1/500 sec
Aperture : f/5
Focal Length : 28 mm
ISO Speed : 100

En passant par la Palmyre

Après Saintes et ses vestiges Gallo-romains, petit détour par un Zoo que j’avais visité il y a un moment déjà, pendant une autre période de ma vie. Le Zoo de la Palmyre. J’aime beaucoup les aménagements de ce parc zoologique. La sélection que j’ai faite est plutôt courte, je re-visiterais certainement mon répertoire de photos un peu plus tard.

Zoo de la Palmyre (10 sur 10)

Exif :
Camera : Canon EOS 7D
Exposure : 1/2000 sec
Aperture : f/1.8
Focal Length : 85 mm
ISO Speed : 100

Quelques vestiges gallo-romains en Charente Maritime

Ce n’est clairement pas un de mes sujets de prédilections, mais je m’en voudrais de ne pas partager avec vous ces quelques clichés que j’ai pu prendre lors de mon passage dans la très jolie ville de Saintes, en Charente Maritime il y a quelques jours maintenant.

L’amphithéâtre était vraiment impressionnant pour le coup !

Saintes - Sites Gallo Romains (4 sur 4)

Exif :
Camera : Canon EOS 7D
Exposure : 1/200 sec
Aperture : f/9.0
Focal Length : 46 mm
ISO Speed : 100

Le Walt Disney Concert Hall et l’Angels Flight

Parmi les endroits notables de Downtown L.A. il y a le très réussi (bon, je peux comprendre que cela puisse repousser) Walt Disney Concert Hall, que l’on doit à l’architecte Frank Gehry, qui a depuis réitéré avec le musée Guggenheim de Bilbao et celui d’Abou Dabi.

Il y a également l’Angels Flight, qui est un funiculaire qui date, à cet emplacement précis, de 1996. Mais son histoire à en fait commencée en 1901, un peu plus au nord. C’est un morceau de l’histoire de la ville… Que l’on peut voir à son emplacement originel dans le jeu L.A. Noire, sur lequel je ne me suis pas du tout acharné !

Walt Disney Concert Hall L.A.-2

Exif :
Camera : Canon EOS 7D
Exposure : 1/400 sec
Aperture : f/9.0
Focal Length : 17 mm
ISO Speed : 100

Le Bradbury Building

Si vous êtes cinéphile, et que vous prêtez attention aux détails, alors vous avez forcément vu ce bâtiment passer dans certains plans. Notamment dans le film Blade Runner, de Ridley Scott.

Bon, mes photos, que vous trouverez dans mon Flickr en cliquant sur la photo, n’ont l’aspect Cyberpunk du film. Mais j’avoue que cela m’a fait quelque chose de me promener dans ce lieu.

The Bradbury Building L.A.-3

Exif :
Camera : Canon EOS 7D
Exposure : 1/80 sec
Aperture : f/9.0
Focal Length : 28 mm
ISO Speed : 100