Si on m’avait dit qu’un jour j’allais m’offrir mon propre Mac… Je ne l’aurais certainement pas cru. M’enfin, il n’y a que les cons qui ne changent pas d’avis à ce que l’on dit. Je précise tout de suite pour les fans d’Apple qui pourraient être amenés à me lire. Je ne suis pas un switcher. Bien au contraire, je reste très attaché à mon 7 bien burné qui se trouve dans mon bureau. Mais lorsqu’après mon escapade à Amsterdam il y a peu, j’ai commencé à lorgner du côté d’un ultraportable… Le MacBook Air est forcément apparu dans ma liste de choix.
Evidemment il est hors de prix… Evidemment il n’est pas équipé d’un Core iTruc comme tous les autres. Malgré tout, j’ai appris il y a peu à considéré les choses dans leur globalité… Enfin, je savais déjà faire cela, disons que je n’avais pas pensé à appliquer cela à l’informatique. Et il faut avouer que le package que j’ai sur les genoux actuellement est plus que cohérent. Mon premier vrai Mac personnel est donc un MacBook Air. Car il vient s’ajouter à mon MacBook Pro du boulot, et d’une machine très puissante sous 7 comme poste fixe. Donc c’est clairement ce qui manquait.
Je ne vais pas faire comme tout ses nouveaux possesseurs de Mac et vous faire l’article ici (ou ailleurs) de mes découvertes sur Mac. Je vais surtout l’utiliser comme le fabuleux outil nomade qu’il est. Et du coup, comme il est aisé de le promener un peu partout, il va sans dire que je vais recommencer à écrire un peu plus.
Ce qui ne sera pas un mal non ?